Un objectif commun peut faire travailler ensemble une entreprise vendeur de biens ou de services et une société d’affacturage : assurer le paiement à brève échéance des factures. Les deux entreprises ont pourtant des intérêts et des rôles différents. L’entreprise client fournit des renseignements et le factor réalise pour elle des prestations.
Les missions du factor
En acceptant de devenir le factor de son client, une société d’affacturage s’attribue plusieurs missions. La première consiste à assurer une veille financière pour évaluer en permanence la solvabilité du débiteur de son client. Elle le fait avec le concours d’entreprises de renseignement et d’analystes de crédits. Ce débiteur est évalué alors par un système de scoring et du résultat dépend l’engagement final du factor en ce qui concerne la gestion du compte de son client. La deuxième consiste à mettre le client au courant de la situation de son débiteur en lui communiquant les informations qu’elle reçoit. La troisième consiste transférer à son client les fonds qu’elle reçoit du débiteur, ce qui se fait soit via un service de transfert en ligne, soit par virement bancaire. La quatrième consiste à assurer le suivi des paiements et dans le cadre d’un contrat de « full factoring », d’assurer en plus le recouvrement, les relances et en cas de sinistre, les actions de contentieux.
Le prestataire idéal
Ces prestations d’affacturage sont réalisées dans le cadre d’un contrat qui est rédigé une fois seulement que le factor ait donné son accord après analyse du poste client. Cet accord est notamment conditionné par un degré minimum de solvabilité du débiteur. Du point de vue d’une entreprise cliente, un factor honnête évite de surévaluer les risques et serait ouvert à une négociation au sujet des intérêts financiers et des frais de dossier également. Quoi qu’il en soit, une entreprise pourra trouver assez facilement le prestataire qui lui conviendra en faisant la comparaison entre les meilleures sociétés d’affacturage, celles qui sont les plus citées sur le Web.
Risques et rémunérations pour le factor
Un meilleur factor ne peut pour une entreprise qu’être le prestataire qui propose le minimum de coût d’affacturage puisqu’il sait que les risques liés à l’insolvabilité d’un client ne pourront pas être couverts à 100 %. En effet, dans un contrat d’affacturage, le financement des créances est à hauteur de 80 à 90 % de leur montant. La solution complémentaire consiste à souscrire à une assurance-crédit. Quoi qu’il en soit, en raison de leur sérieux et de leur célébrité, nombreuses sont les meilleures sociétés d’affacturage qui ont chacune ses mérite. Et pour trouver celle qui présente la meilleure offre qui correspond aux attentes d’une entreprise, une comparaison des différentes prestations est plus que nécessaire.
L’une comme l’autre, l’entreprise d’affacturage et l’entreprise cliente sont obligées d’effectuer certaines évaluations avant de se lier par un contrat d’affacturage. Si le faible coût est un critère de bon factor, son renom peut quand même être déjà une garantie.